La secrétaire d'État parlementaire auprès du ministre fédéral de l’Économie et de la Protection du Climat, Franziska Brantner, a déclaré : « La Nouvelle-Zélande compte parmi nos partenaires stratégiques les plus étroits et les plus importants dans la région indo-pacifique. L'accord nous rapproche encore plus les uns des autres. Nous élargissons les possibilités de diversification de nos entreprises et leur offrons de nouveaux débouchés potentiels. De plus, l'accord commercial est le premier accord qui met en œuvre la nouvelle approche de l'UE en matière de croissance verte et juste et qui contient des dispositions en matière de durabilité. »

Grâce à l'accord, la Commission européenne table sur une augmentation de jusqu'à 30 % du commerce entre l'Europe et la Nouvelle-Zélande. Elle s'attend à des économies d'environ 140 millions d'euros par an pour les entreprises européennes rien qu'en raison du démantèlement des droits de douane néo-zélandais. Pour ce qui est des investissements européens en Nouvelle- Zélande, la Commission table sur une croissance potentielle de plus de 80 %.

L'accord prévoit des obligations en matière de durabilité contraignantes, ambitieuses et viables dans le respect de l'Accord de Paris et des principes clés de l'Organisation internationale du Travail. Par ailleurs, l'Accord comprend un chapitre destiné aux systèmes alimentaires durables, un article sur le commerce et l'égalité des genres ainsi que certaines dispositions spécifiques sur la réforme du commerce et des subventions pour les combustibles fossiles. L'entrée en vigueur de l'accord facilitera également le commerce des biens et services environnementaux.

Vous trouverez de plus amples informations sur l'Accord de libre-échange en cliquant ici et sur les échanges commerciaux entre l'Allemagne et la Nouvelle-Zélande en cliquant ici.